Au quotidien · Voyages

voyage voyage…

Poua petit lecteur, c’est la loose. Figure toi que depuis quelques jours, l’inspiration a quitté mes doigts et mon clavier. Affreux, non ?

Pourtant il s’en passe des choses dont je pourrais te parler. Tiens, par exemple. Ce week end je suis rentrée dans mon Sud natal, et comme de par hasard, il faisait moche (et beau temps à Paris). Je pourrais faire un post sur les joies du TGV, te brosser un portrait du mec qui ronfle à côté de toi juste après avoir fait sa gym, et de la fille BCBG à mort avec ses quatre rangs de perles (toc) et son mec à polo Vicomte Arthur.

Je pourrais aussi te raconter que là je suis à Rome, pour MonJob, une histoire (vécue) à base de vigiles surexcités à l’aéroport (comme si on allait cacher des limes à ongles dans ses bottes…), d’hôtesses EasyJet imbuvables, et du vol ambiance religion. Avec Juif avec Tefiline, groupe de guides, et enfin, jeunes Versaillais en « pélerinage à Rome » (dixit l’imprimé A4), accompagné d’un jeune prêtre en soutane et pull à capuche brandé « Jesus, What else ?« .

(c’est dans ces moments là que je regrette de pas avoir d’Ifon, histoire de Twitter ce genre de trucs…)

Et puis Rome, sa verdure, la chauffeur de taxi qui fume sa clope à le fenêtre et lit son journal dans les bouchons. Les murs de brique rouge et les voies pavées.

Des choses comme ça…

Et puis non, à la place, je sais pas quoi raconter. Rome peut être un peu plus tard, un week end en chambre d’hôtes dans le Gers à venir, un thriller à critiquer. On verra.

En attendant, ce sera tout pour aujourd’hui. Je vous laisse avec ma bande son du moment…

Voyages

je suis venue te dire que je m’en vais

Salut petit lecteur, salut petite lectrice, salut tomme de brebis et autres éléments minéraux. Ceci est un post pour t’annoncer que je m’en vais. Oué oué. Je m’en vais pour des contrées plus clémentes, des reliefs aux pentes enneigée, un lieu où on parle d’ubac et d’adret, et où les costumes locaux vous font ressembler à un yéti.

Oui, je pars au ski.

Voilà.

Et c’est bien mérité (me dis-je), car figure toi que ça fait deux longues années que je n’ai pas dévalé les pentes rouges et bleues (noires c’est trop bosselé) à toute berzingue, perchée sur mes supers skis que j’aime d’amour (et que j’ai refait farter/nettoyer/rapiécer, merci MonFrère et son chef) et engoncée dans ma super tenue Quechua qui déchire sa maman (même si tu es un fervent détracteur de Decathlon, toi, je j’aime quand même et ma veste elle a trop la classe).

Super skis Miss Demeanor que j’aime d’amour
von-zipper-quechua Là on dirait pas trop, mais j’ai la classe (en vrai)

Cachée derrière mon masque et mon bonnet, noyée dans un  mètre de pow pow, je vous laisse donc vaquer à vos occupations Marsiales, en souhaitant qu’aucune de mes jambes ne choisisse de se casser durant le séjour.

Rendez vous le 22 Mars !

Chroniques · Voyages

le jour où je suis allée chez Mickey

Alors là, tu comprends rien au titre, et tu te dis « mais de WHAT elle parle ? » (parce que tu es soooo bilingual, isn’t it ?).

Et je te réponds, mais c’est pourtant simple, chez Mickey, c’est Disneyland Paris !!

(avant, ça s’appelait EuroDisney. peut être t’en souviens tu, petit lecteur, toi qui a rêvé d’aller voir la Grande Parade et vu les pubs pour Space Mountain à la télé. et puis ils ont changé. me demande pas pourquoi. peut être l’ambiance Pariissss so French, ou la similitude avec EuropaPark, un vrai parc d’attractions pour grown up avec des vrais manèges qui te secouent pour de bon et des fausses Bakerei françaises)

J’ai donc été chez Mickey. Un dimanche de Mars, par -3°C et grand soleil. J’installe le décor, tu vois, parce que ça justifie à lui seul la raison d’être de ce post. En résumé: c’était blindé. Minimum 30 minutes d’attente aux attractions les plus moisies (comprenez, celles où t’as pas envie d’aller), et jusqu’à 2 heures et quelques pour des trucs un peu plus funs.

Alors là il y a un truc qui me dépasse avec Disney. D’abord, pourquoi donc les gens décident de venir à Disney un jour où on se pèle le c*l ??? Genre c’est fun de faire la queue pendant 2 heures dans le vent glacial (non j’exagère pas) de Marne la Vallée.

Youhou.

Ok, nous aussi, on y était. Mais on avait pas le choix tu vois.

Autre truc, qui me dépasse encore plus. Pourquoi emmener ton gosse de trois ans et demi (et encore je suis gentille) voir Mickey ? C’est que Disney, c’est un truc pour âge tendre, ok, mais quand même. Entre 6 et 14 ans, ça passe encore (14 ans c’est pour atteindre les 1m32 minimum pour faire Space Mountain). Plus jeune, sérieusement, c’est pas gérable. Le gosse qui couine comme il peut parce qu’il fait froid, et qu’il a peur de Dingo, et que de toute façon il croit que dans Le Monde de Némo, le héros, c’est Doris (le poisson lune amnésique. si, souviens toi…). Résultat, au bout de la dixième minute d’attente pour Peter Pan, le minot engoncé dans sa poussette et sa couverture polaire « Baloo » (achetée à Disney parce que Papa Maman n’avaient pas prévu qu’il ferait -3°C), se met à chialer et à couler du nez.

Super, toi t’es à côté, tranquille, quand soudain un machin sous couverture se met à hurler à la mort. Bon. Zen.

Parmi les visiteurs qu’on peut croiser chez Mickey, en plus des familles avec plus ou moins d’enfants d’âges divers qui monopolisent les quelques tables disponibles des fast food, il y a les groupes d’ados. Enfin, ados, genre 14-15 ans. L’âge où tu commences à affirmer ta vraie personnalité, tu vois. L’âge où tu peux pas t’empêcher de glousser tant que tu peux si tu es une fille, et de crier le plus fort possible avec ta voix de semi bébé si tu es un garçon. C’est que faut montrer aux filles qu’on est des mecs, des vrais. Trois poil au cul et ça se sent plus pisser, comme disait une copine. Et alors eux, va les calmer quand ils te font du rentre-dedans parce que Space Mountain, quand même, ça fait peur, et qu’il faut en discuter tout du long (et sauter partout, mais ça j’ai pas encore compris l’utilité).

Enfin, à Disney, il n’y a pas que les visiteurs qui font de ta visite une aventure. C’est à dire que sur un plan marketing ils ont réussi, les mecs de Disney, à nous faire vivre un vrai truc expérientiel (décidasse à Marcel). Il y a un bouquin de marketeux qui disait qu’un truc qui génère de la conversation, c’est par exemple un restaurant à Montréal qui sert un plat typique de là bas, et pour lequel il y a toujours la queue. Le mec explique que ça fait partie de l’expérience, attendre sous la neige Montréalaise. Bon.

Pour le coup, Disney, c’est totalement de l’expérience. Ambiance tournez manège. Si vous y êtes déjà allé, vous savez, ces files d’attente à surprises, où tu penses être à 10 mètres de l’entrée mais en fait non, ya une feinte, ya encore trois serpentins de 50 mètres de long avant. Arrivé enfin à l’entrée du machin, super t’es content tu sauterais presque de joie (bon déjà tu vas plus te geler les mains, et ça c’est cool). Mais la déception est à la hauteur de ta joie furtive, car en fait, à l’intérieur, il y a encore un tas de sinuosités à traverser avant de toucher le Saint Graal…

Je ne sais pas QUI a inventé les files d’attente Disney, mais je lui tire mon chapeau. Comment réguler le flux des gens ? En faisant une queue interminable.

Disney, donc, c’est une aventure à part entière. Quand tu repars de là, des souvenirs plein la tête, tu te remémores avec émotions l’odeur des pop corns et des frites; les cris des enfants fatigués; l’image de ces looks bariolés, moustachus, chevelus, percés, issus de la France – et du Monde ! – entier. Sur toi, les traces de la lutte pour entrer en premier dans le wagon de Space Moutain. Dans ton ventre, la digestion difficile du hot dog du midi. Mais malgré tout ça, Disney, tu es content d’y être allé.

CQFD

PS: Merci aux Tortues pour cette journée toute de même très chouette 😉

Au quotidien · Voyages

27 décembre

Ce post se passera de commentaires. Les images se suffisent. Ca donnera raison à MonFrère et ça finira par prouver (j’espère) que j’ai grandit dans une des plus belles régions du monde !

(non je ne suis pas chauvine)

(non je ne suis pas prétentieuse)

(non)

Pour le reste, c’est sur mon Flickr

Merci à MonFrère pour le prêt de ses pieds en photo d’article
Voyages

NYC #3 For Your Eyes, ou le marathon Sephora

(attention: post de fille !!)

Une de mes missions durant mon voyage à New York était de faire du shopping. Comme je l’ai déjà dit précédemment, j’ai visité un tas d’Apple Stores, ainsi que le Uniqlo de SoHo. En terme de shopping, j’avais en réalité deux buts, et autant vous dire qu’aucun n’a été atteint.

Notre guide spirituel du voyage fût le Routard. J’y reviendrai, mais dans le Routard, il était écrit « les produits de beauté sont moins chers à NY« , information qui ne tomba pas dans l’oreille d’une sourde dans l’oeil d’une aveugle ! En effet, j’arrivais à la fin de mon tube MAC de base de fard à paupières

(oui, en fille qui se respecte, j’use et abuse de trucs et astuces de fille pour le make up. et un truc découvert et usité depuis de longues et nombreuses années est de poser une base pour éviter que le fard plisse/coule/autre. CQFD)

et avais décidé de changer de produit. Pour la petite info, le tube MAC en question est un fard qui ne plisse pas, présenté dans un mini tube de peinture, et que j’utilisais dans une teinte neutre comme base. Problème: vers la fin du tube, le produit sèche et perd un peu de sa qualité de base.

J’avais arrêté mon choix sur la base F.Y. Eyes, de Benefit, base décrétée révolutionnaire et de très bonne qualité par nombre de bloggeuses beauté (oui ce sont parfois des références – dans leur domaine). Souci: le truc coûte 26€ chez Sephora. Je décidais donc de trouver ledit produit miracle à NY…

Là bas, le pot F.Y. Eyes est vendu 22$. Ce qui fait, avec le taux de change (env. 1$60 pour 1€ > 30% de réduction !) vraiment pas cher !!

Je me mis donc en quête du précieux produit.

Sauf qu’évidemment, au premier Sephora rencontré, ils n’en avaient pas.

Ni au deuxième.

Ni au troisième.

Ni chez Macy’s, le grand magasin de 100 000m².

Ni au quatrième Sephora.

J’ai craqué. Comme de par hasard, le F.Y.Eyes Benefit était en rupture de stock partout. Juste quand j’étais là bas. Juste quand mon tube MAC menaçait de cracher son dernier mL de beige pâle.

En résumé de l’aventure, j’ai trainé le Garçon (patient) dans tous les Sephoras de la ville. Lui, en gentil copain, questionnait les vendeuses (je l’ai dit, le Garçon est idéal) (non je le prête pas). Malgré de fausses joies (on sera livrés jeudi, ou samedi…), le F.Y.Eyes n’est pas apparu.

Je suis rentrée, la mort dans l’âme, en France, en m’étant vengée sur un crayon à sourcils, un savon liquide #1 de chez Clinique (15$ la bouteille !! so cheaap !!), un produit brillance pour les cheveux et une énorme bouteille de gel bouche/bain moussant senteur Daiquiri Melon.

(je déconseille la senteur Crême Brulée)

Hier, j’allais au  Sephora de Saint Lazare pour compenser ma perte.

Le F.Y.Eyes y est aussi en rupture de stock.

Je vais poser une bombe chez Benefit.

A moins que ce ne soit un signe… ?

… et là, sur le site même de Benefit, le F.Y.Eyes n’y est plus.

C’est fini…

Sinon, m’autre truc que je devais trouver, c’est des Nike Blazer Mid W. Genre celle ci, mais en propres/neuves. Et pas à 120€ (prix vendu en France).

(à droite, les adidas du Garçon. le Garçon est très Adidas)

Mais ça n’existe pas.

Evidemment.

A part deux modèles (moches) trouvés chez Foot Locker Women Lady Foot Locker (dit le Garçon) (sisi ça existe !).

Voilà comment je n’ai rempli aucun de mes buts shopping.

Donc.

Si vous connaissez un équivalent du F.Y.Eyes de Benefit, je suis toute ouie oeil.

Pour les Blazer Mid, j’abandonne mes recherches.

Et tant pis.


Voyages

NYC #2 – la vérité sur les « grand opening », ou le marathon des Apple Store

(oui ce titre est long. je vous m*rde. j’aime mon titre à la c*n)

Il y a quelques temps (genre exactement environ trois semaines à peu près), ouvrait à Paris le Apple Store. Je dis LE, parce que bon, vu le battage médiatique autour, c’est pas n’importe quel store.

Il y a quelques temps (genre exactement environ un mois à peu près), ouvrait à Paris le flagship store Uniqlo. Je dis LE, car là encore, on se serait cru à l’avant première de Star Wars, ou encore la sortie du dernier Harry Potter, voire la venue de Robert Pattinson à Paris.

Dans les deux cas, même scénario: une horde de fans inassouvis de la découverte du fabuleux Store, faisant la queue pendant des heures pour rentrer dans LE store, qu’il pleuve ou qu’il vente, et ce pendant une durée (raisonnable, isn’it), d’une semaine (voire plus pour l’Uniqlo).

Je pense juste « les gens sont fous ». Que ce soir pour un magasin de fringues Japonaises cheap (Uniqlo), un truc de high tech blanc (Apple Store) ou un mec moche (Robert Pattinson), ça me dépasse complètement qu’on puisse se geler les c*illes dans le froid, déguisés en je ne sais quel magicien Jedi, tout ça pour voir le truc avant tout le monde.

Genre.

Parce que t’imagines que Robert va tomber amoureux de toi au premier regard ? Qu’Uniqlo n’a que 200 jeans slim verts en stock pour l’année 2009, et que si t’es premier tu seras le seul à porter leur t-shirt chauffant moche au ski ? Que les vendeurs de l’Apple Store vont t’apprendre à faire Pomme C plus vite que la lumière et sur-optimiser la vitesse de chargement de ton Safari ? Nan, sérieux…

Bref, toujours curieuse de comprendre ce qui meut les foules et populaces, lorsque nous (le Garçon et moi même) passâmes devant le Apple Store de Broadway (& West 67th Street), nous n’avons pas un nistant hésité et avons pénétré dans le temple Pour info, la surface de vente est de 13 000m², et c’est le 4e Apple Store ouvert à NY. Petits joueurs, donc, à Paris, avec leur unique Apple Store. Nous y étions le 14 novembre, c’est à dire deux jours après son ouverture officielle. Et point de queue à l’horizon.

A la suite de cet Apple Store, nous en avons visité deux autres, sur 5th Avenue (au Corner Sud Est de Central Park), et à SoHo (Prince St). Histoire de voir, hin, d’être bien sûrs de comprendre.

Petits lecteurs, je lève donc ici le voile sur ce mystère mystérieux qui agita les geeks parisiens et d’ailleurs (certains sont mêmes montés exprès pour l’occasion, mobilisant leurs lecteurs pour payer le billet). Les Apple Store, mis à part une architecture assez superbe (bloc de verre et d’acier, deux niveaux, escalier de verre) et un nombre de vendeurs/conseillers impressionnant, bah… rien d’extraordinaire.

En fait de l’intérieur, ça ressemble à ça

(wahou, tout plein de petits vendeurs en rouge)

Alors dans un Apple Store, qu’est ce qu’on peut faire ? Twitter, jouer à des jeux de gamins assis sur des grosses boules, aller sur FB, écouter de la musique, et euh… payer par CB, dans les rayons, grâce à un add-on sur un Iphone trimballé par les vendeurs (dit comme ça, on s’en fout, mais quand ça t’évite 2 heures de queue en caisse, ça fait plaisir).

Et c’est tout.

Côté Uniqlo, cher petite lectrice modasse (et petit lecteur aux goûts prononcés pour les slims colorés), et bien… des prix « normaux » (pull cachemire en entrée de magasin: 99$), des coupes classiques, des matériaux synthétiques et naturels, et de la couleur. Et pis c’est tout. Rien de fascinant pour l’habituée des H&M, Mango et autres Zara so cheap. Franchement, si ce n’est la déco, j’ai été limite blasée. Mais tous les magasins New Yorkais ont une déco qui déchire sa maman. Donc…

(je t’assure, c’est plus joli dehors que dedans, et personne fait la queue)

Je préciserai au passage qu’Uniqlo, à Paris, existait déjà aux Quatre Temps, l’immense centre commercial labyrinthe sous la Défense.

Que ce soit l’un ou l’autre, rien de palpitant, qui mérite la queue dans le froid violent de Paris. Je reste toujours aussi dépassée par la folie populaire de la queue pour ces trucs là. Et pourtant, la queue, je l’ai faite à NY (voir les restos et autres attractions).

CQFD

Au quotidien · Voyages

NYC #1 – street style

J’inaugure par ce post une nouvelle catégorie: Around the (small) World. Parce que oui, je voyage (parfois), et j’aime bien (parfois) raconter mes expérimentations expériences et découvertes de par ce joli monde… Voici donc aussi le premier billet sur NYC, New York de son nom commun (ça vous changera de Berlin, hm).

Petite histoire, d’abord…

Comme vous le savez peut être, j’habite Place de Clichy. Là où il y a des Chouchous, un Quick, un MacDo, un KFC, un Hippopotamus, un Bistrot Romain, deux brasseries qui servent des moules, et… un Starbucks. Jusqu’ici, le Starbucks, c’est un endroit chouettement confortable, où il fait bon se poser dans de gros fauteuils moelleux. A 6€ le café, clairement, autant profiter du WiFi gratuit, de la musique lounge et des fauteuils club…

Ca, c’était ma vision du Starbucks avant. C’est aussi la raison pour laquelle, depuis l’ouverture de ce Starbucks Place de Clichy, je n’y avais jamais mis les pieds (pourquoi payer 6€ pour un café que je peux faire chez moi, à 100m ?). Avant, car ce matin, j’ai fait un truc étrange…

Sur le chemin pour aller à MonJob, j’ai pris un Chocolat Viennois Signature © à emporter. Et un donuts. Oué, j’ai enfin trouvé une utilité au Starbucks. Tout ça à cause de NY. Car là bas, figurez vous que point de fauteuil club et de WiFi gratuit dans les starbucks. C’est à peine si on y trouve trois tables et deux chaises pour y percher un bout de fesse ! A NY, on emporte le café. Et on le boit, American Style, dans la rue, à son bureau, qu’importe.

Evidemment les parisiens, peu habitués, m’ont regardée bizarrement ce matin, avec mon Starbucks à la main. Ou peut être c’était mon chapeau. Bref.

Mais c’était chouette. Pendant les 15 minutes de mon trajet, I felt back to NY.

et non, le Starbucks, à NY, c’est pas du tout comme en France.

On a un tas de clichés, sur New York. Et c’est là l’étrangeté de cette ville. L’impression de la connaitre, mais pour autant, une fois sur place, un tas de petites « choses » donnent l’impression qu’en fait, tout est différent. Et c’est pas seulement « plus grand », etc. Non. D’ailleurs la majeure partie de Manhattan (et Brooklyn) sont constitués d’immeubles de quelques étages seulement (du style de How I Met Your Mother, avec des sous sols, et des fenêtres à guillotine).

(genre comme ça – Upper West Side)

A New York, quand il pleut et qu’il bruine, qu’un fog lourd et pesant descend sur la ville (vous avez peur là, hin ?), c’est pas Batman qu’on croise, et encore moins des yellow cabs. Non, la ville est morte, vide, même Time Square est « calme » (sisi c’est possible).

(c’est la nuit, OK, mais quand même)

A New York, on peut  bien manger. Equilibré. Européen. Toussa. La découverte d’un market dans Upper West Side nous aura simplement fait halluciner par ses pyramides de fruits et légumes, et la variété des produits (même du fromage !). Je parlerai plus tard des restos où tu te pètes le ventre pour… pas cher.

A New York, on voit le ciel entre les Buildings. Même qu’il est bleu.

C’est tout pour aujourd’hui… je vous prépare un post spécial Shopping (ou la vérité sur la folie « Apple Store » et autres Uniqlo), les trucs Frenchys, les bons restos (testés et approuvés), et mes aventures avec Benefit (Sephora Powaaa).

To be continued…