Voyages

gwada #1: the truth

J’ai commencé à trier mes photos (plus de 600, wé, rien que ça). Mais la motivation de les traiter m’a abandonné devant un reportage sur l’alcool et les jeunes (merci TMC, merci Charly la modeuse, merci !). Je n’ai donc pas de vraies photos présentables à vous montrer… pour l’instant.

Que vous dire, donc. La Guadeloupe, c’est bien (ça, ok tu le sais). Mais encore ? Il y a surement quelques images d’Epinal que vous (sauf toi, petit lecteur éclairé qui a déjà atterri à Pointe-à-Pitre, ou PAP de son petit nom) avez sur les Antilles, les Caraïbes, les Tropiques, les îles, toussa. Les clichés, c’est pas bien. Je me porte donc au devant de vous pour vous raconter notre version d’un voyage en Guadeloupe…

Partir en Guadeloupe, c’est cher

Bon, alors là… oui et non. Premièrement si le billet depuis la Métropole coûte généralement entre 600 et 1000€ (selon les périodes et la compagnie aérienne), il y a moyen de partir pour moins cher. Nous avons décidé de partir suite à une promo sur Air France, et avons payé l’aller-retour 509€/personne. Hors saison ça peut aussi être intéressant: Avril Mai sont encore agréables et moins fréquentés.

Sur place, côté logement on trouve de tout. Evitez si possible les hôtels et clubs (sauf si vous partez en famille, c’est quand même pratique de pouvoir abandonner laisser ses enfants braillards au Mini Club pendant que vous draguez le beau GO), chers et peu intéressants rapport qualité prix. En plus on y mange pas super bien, et franchement, se retrouver dans un club avec 500 autres touristes, vive le dépaysement… Il existe donc un tas de possibilités de logement bon marché: louer un gîte (plus ou moins chics et donc plus ou moins chers) ou une chambre chez l’habitant peut être bien plus sympa (et moins cher) qu’un hôtel en pleine zone touristique.

genre notre petite case créole…

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Voyages

la question du planning

Oh oui, je vais vous souler avec mes questions existentielles sur mes prochaines vacances ! Mais ceux qui me fréquentent quotidiennement (respect à eux) savent à quel point j’ai HÂTE de partir ! Imaginez, moi la fille du Sud, 360 jours de Soleil par an et la mer accessible à pieds (ou presque, et bon seulement les deux ans où j’ai vécu à Marseille MAIS BON), qui a quitté son Sud natal depuis maintenant deux ans et demi (sisi, la date exacte est le 21 Août 2008, départ pour Dortmund…), et qui n’a passé depuis qu’une semaine d’affilé maximum dans sa Provence chérie (et ensoleillée). A côté de quoi j’ai eu l’idée (étrange) d’aller en vacances en Suède l’été dernier en espérant y trouver… l’été (non mais cherchez l’erreur…). De quoi résulte l’impression de ne pas avoir eu d’été depuis deux ans et demi (non les quatre jours et demi de soleil à Paris durant lesquels je ne bossais pas entre le 15 juin et le 15août – après quoi il fait à nouveau un temps pourri – ne comptent pas) et un manque physique de la mer, son horizon bombé*, ses étendues salines.

Ok, tu comprends mieux ?

bon.

Après cette mise en bouche, reprenons avec mes problèmes de riche.

La Guadeloupe, donc, pour presque dix jours, départ vendredi 11 Mars après midi, retour lundi 21 Mars aux aurores (5h30, tu sais de quoi je parle…). Neuf jours sur place (merci le décalage horaire super avantageux). Neuf jours à occuper. Alors au départ quand on a décidé de partir là bas, on s’est dit « les Antilles c’est bien, mer et soleil, mais aussi un peu de montagne et de jungle« . Parce que comment te dire, le Garçon et moi même sommes loin d’être du genre lézard à glandouiller et faire des mots fléchés sur la plage. Nous, c’est plutôt vacances sportives, vacances découverte, vacances culturelles. On ne rentre pas crevés pour autant (je t’assure quand t’as marché 8 heures dans les rues de NYC tu te couches à 22h30, max), mais voilà. Donc la Guadeloupe apportait cette possibilité,  avec la possibilité de glander un peu (on va se promener le matin, on glande sur la plage l’après midi) et aussi une optioin qui semblait intéressante: celle de ne pas se ruiner en restos/musées/transports/autres trucs divers qu’on dépense en vacances dans un pays urbanisé.

Ca c’était avant d’avoir ouvert le Guide du Routard. Continue reading « la question du planning »

Voyages

lisbeth salander, c’est moi

Non mais je RI-GOLE. Ca va t’as cru que je m’étais tatouée le corps avec une mouche et que j’avais un piercing dans le naseau. T’es fou.

Par contre, va falloir que j’apprenne à parler le IKEA. Et ça, c’est pas du mytho. Car cet été, c’est décidé – booké: je pars en Suède.

ikea

Walàà

Alors je vois dé là ta tête surprise. Genre « mais WTF qu’est ce qu’elle va faire en Suède en été au lieu de se la dorer à Ibiza ?« . Et bien il y a un tas de raisons, la première étant que j’ai les pires dates de vacances possibles. Celles qui tombent pile en même temps que tout le monde (Européens y compris). Celle où tu crève ta mère de chaud et de transpiration. Celle où les promos vacances n’existent pas.

Je suis en vacances du 1er au 15 août.

Voilà. Tu comprends mieux maintenant pourquoi j’ai décidé d’un commun accord avec le Garçon d’aller me percher dans les pays Nordiques plutôt que de noyer mes orteils au milieu d’un banc de méduses et de touristes hollandais sur une plage espagnole.

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