Au quotidien · Montréal, Québec

un mois

Au moment où j’écris ce post, il est presque minuit et c’est encore dimanche. En France, six heures de plus, il est lundi matin et les gens commencent à se réveiller (mention spéciale aux likeu(r)s(es) Instagram de la nuit ;)). Ce lundi 4 mars, ça fera 1 mois que je suis à Montréal. Un mois que je vis en décalage horaire avec ma famille et mes amis. Un mois que je n’ai pas vu la pluie, un mois que la température extérieure n’a pas dépassé 1 degré.

En un mois, je suis passée de découvertes en découvertes. Et je continue à découvrir. J’ai skié de nuit. J’ai fait du patin. J’ai dansé dehors par -15°C. J’ai fait des kilomètres à pieds, en métro, en bus et en taxi dans les rues de Montréal, avec ou sans neige. J’ai parlé anglais (un peu), j’ai mangé des crêpes, des burgers, bu des cocktails dans des pots Masson, fait la fête chez des gens que je ne connaissais pas. Je me suis retrouvée au 7e étage d’un immeuble, un soir, un peu par hasard. J’ai vu Mathieu Chedid en concert, et c’était fou. J’ai passé des entretiens, réseauté, rencontré un tas de gens, français, belges, québécois.

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Chroniques · Syndromes

mon père, ce hipster

(non, cet post n’a rien à voir avec la Fête des Pères. mais bonne fête quand même)

Hipster. Un terme qui vous dit sûrement quelque chose. Une tendance qui revient en force des années 40 pour s’implanter dans les villes les plus hype et les quartiers les plus underground, de Paris à Berlin, en revenant par New York , et bien sûr Londres. Et si vous n’arrivez pas à y coller une image plus précise, ne vous inquiétez pas, il parait que c’est normal. Car le hipster se veut n’appartenir à aucune tendance

Bref, je ne vais pas vous faire de la socio, parce qu’au fond, on s’en fout un peu. Et puis comme on est sur un blog de fille, soyons superficiels et parlons de l’apparence du hipster.

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