Chroniques

réflexe fervex

Ca y est, c’est le printemps, les petites fleurs le retour du Soleil…

Je vous l’ai déjà faite celle là ? Oui mais là pas question de parler de choses rigolotes et futiles telles les fringues. Car qui dit réchauffement dit… retour des petites bêtes qui s’incrustent dans le métro, pour intégrer nos corps tous frais deshabillés au premier rayon de soleil mais encore fragilisés par l’hiver.

Oui, le printemps c’est le retour des maladies en tous genre. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, on se retrouve avec la tête qui joue au hoola hoop et l’impression d’avoir avalé un sac de sable. Je t’épargne les sensations de flou mitigé qui te donne l’impression de flotter entre deux eaux, le nez qui coule et les oreilles bouchées.

C’est la tempête dans ton corps, en version ça va ça vient, les giboulées de Mars avec un peu de retard, l’ambiance soooo funky de… l’état grippal.

Ou de la Rhinopharyngite. Bronchite. Gastro. Et j’en passe.

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Au quotidien

homework

Ces derniers jours, j’ai testé pour vous… le télétravail

(wééé)

Je vous le disais hier, je suis malade. Un bien vilain truc encore inconnu qui a bousillé mes lymphocytes (NDLR: lymphocyte: petit truc dans ton sang servant à tuer les méchants microbes et te protéger des maladies), du coup, je suis inapte à sortir sous peine de nausées violentes et autres collateral effects.

Mais il faut en rire, hin.

Ayant traversé une semaine de « turbulences » il y a peu, avec à peu près le même état (en moins pire) et un jour sur deux au bureau, l’autre dans mon canapé, j’ai prévu le coup. Lorsque le malaise s’est abattu sur moi lundi midi, j’ai emporté biens informatiques et cahiers dans le cas où mon état durerait (béni soit le jour où j’ai eu un ordi portable à MonJob). Je n’imaginais pas que je finirai par rester trois jours (argh) enfermée chez moi, mais bon, c’est secondaire.

mono repas – petit dej de la journée. oui, les Activia c’est bon pour ce que j’ai

Du coup, entre mon canapé et mon lit, j’essaye de travailler. Dès mon réveil (tardif), autour d’un thé au miel et d’un yaourt (régime light oblige), j’allume mon PC pro. Je lis mes mails. Réponds, en tentant d’éviter les fautes d’inattention (rappelons que j’ai la crève et que si mon état s’améliore – un peu, je reste floue). Je tente de recouper ce qui se passe dans l’open space.

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Au quotidien

this is a dafalgan’s story

ou : L’histoire du jour où je suis restée dans mon lit, et tout ce que vous loupez en allant bosser.

Je suis malade. Voilà, ça arrive. Et comme j’ai rien à raconter aujourd’hui, comme j’ai commencé la version Off du week end à Ramatuelle mais que je manque d’inspiration, voici ici un post (inutile et dont tout le monde se fout) sur les aspects nuls d’être malade.

D’abord, horrible chose, je me suis réveillée avec  dans la tête Tatoue-Moi, l’extrait hyper commercial de cette comédie musicale ultra commerciale qu’est Mozart. Et dire qu’ils osent appeler ça « opéra rock ». Waaa. Je veux dire, les Pink Floyd, The Wall,ça, c’est un opéra rock. Avec des guitares, des basses, et de la batterie. Pas un truc à crinolines parce que Versailles est à la mode. Pouaaa. Enfin voilà, c’est dur. Pas moyen d’arrêter que ça tourne en boucle dans ma tête.  Tout ça à cause de l’autre blond coiffeur méché gay de la Nouvelle Star. Qui chantait pas si mal en plus.

Pour tenter d’enlever cette chose de mon esprit embrumé, j’ai dormi. Ce qui m’a fait toussoter comme une vieille pendant 2 heures de moins. Wouhou. Et puis il arrive un moment où j’ai plus dormi. A cause de textos à propos de soupe, aussi. J’ai donc allumé la télé. Sauf qu’à 14heures et quelques, sur a télé française, on a le choix entre Julie Lescaut, Derrick, Toute une histoire (avec Jean Luc Delarue, aujourd’hui « que sont devenus nos animateurs télé? », featuring Maïté et Pascal je sais plus qui, de Fa Si La Chanter), une rediff de Plus Belle la Vie, ou un documentaire sur Arte. Comme vous pouvez le deviner, j’ai choisi le documentaire. J’ai donc été heureuse d’apprendre que la population des kiwis  (les oiseaux, pas les fruits !) des fjords de Nouvelle Zélande décroit de 4% par an, et c’est pas bien. J’ai aussi vu des otaries, des dauphins et des charançons. Avant de zapper vers une rediff du Gala de l’Equipe de France de patinage artistque à Bercy. Et franchement, ya des patineurs BoGoss. Je ne parle évidemment pas de Brian Joubert. Berk.

Enfin, tout bon moment a une fin, j’ai donc éteint la télé pour tenter une action valeureuse: étendre ma lessive. Et je me prépare pour une deuxième action valeureuse: me trainer jusqu’au Monoprix pour acheter du pain de mie. Pour mon petit dej. Je vais pas réussir à guérir sinon.

Wouhou.

(trop passionnante ma journée, I know)

Edit: finalement, pas la force d’aller jusqu’au Monoprix. C’est fatiguant, l’étendage de lessive. Dodo.