Au quotidien

this is a dafalgan’s story

ou : L’histoire du jour où je suis restée dans mon lit, et tout ce que vous loupez en allant bosser.

Je suis malade. Voilà, ça arrive. Et comme j’ai rien à raconter aujourd’hui, comme j’ai commencé la version Off du week end à Ramatuelle mais que je manque d’inspiration, voici ici un post (inutile et dont tout le monde se fout) sur les aspects nuls d’être malade.

D’abord, horrible chose, je me suis réveillée avec  dans la tête Tatoue-Moi, l’extrait hyper commercial de cette comédie musicale ultra commerciale qu’est Mozart. Et dire qu’ils osent appeler ça « opéra rock ». Waaa. Je veux dire, les Pink Floyd, The Wall,ça, c’est un opéra rock. Avec des guitares, des basses, et de la batterie. Pas un truc à crinolines parce que Versailles est à la mode. Pouaaa. Enfin voilà, c’est dur. Pas moyen d’arrêter que ça tourne en boucle dans ma tête.  Tout ça à cause de l’autre blond coiffeur méché gay de la Nouvelle Star. Qui chantait pas si mal en plus.

Pour tenter d’enlever cette chose de mon esprit embrumé, j’ai dormi. Ce qui m’a fait toussoter comme une vieille pendant 2 heures de moins. Wouhou. Et puis il arrive un moment où j’ai plus dormi. A cause de textos à propos de soupe, aussi. J’ai donc allumé la télé. Sauf qu’à 14heures et quelques, sur a télé française, on a le choix entre Julie Lescaut, Derrick, Toute une histoire (avec Jean Luc Delarue, aujourd’hui « que sont devenus nos animateurs télé? », featuring Maïté et Pascal je sais plus qui, de Fa Si La Chanter), une rediff de Plus Belle la Vie, ou un documentaire sur Arte. Comme vous pouvez le deviner, j’ai choisi le documentaire. J’ai donc été heureuse d’apprendre que la population des kiwis  (les oiseaux, pas les fruits !) des fjords de Nouvelle Zélande décroit de 4% par an, et c’est pas bien. J’ai aussi vu des otaries, des dauphins et des charançons. Avant de zapper vers une rediff du Gala de l’Equipe de France de patinage artistque à Bercy. Et franchement, ya des patineurs BoGoss. Je ne parle évidemment pas de Brian Joubert. Berk.

Enfin, tout bon moment a une fin, j’ai donc éteint la télé pour tenter une action valeureuse: étendre ma lessive. Et je me prépare pour une deuxième action valeureuse: me trainer jusqu’au Monoprix pour acheter du pain de mie. Pour mon petit dej. Je vais pas réussir à guérir sinon.

Wouhou.

(trop passionnante ma journée, I know)

Edit: finalement, pas la force d’aller jusqu’au Monoprix. C’est fatiguant, l’étendage de lessive. Dodo.