Culture

where is ryan ?

Ryan est partout.

Dans le cinéma.Dans les magazines. A la télé.

Dans le Facebook de tes copines. Et celui de tes collègues, aussi.

Dans des Tumblr. Sur des blogs.

Et puis avec George, et Kirsten, et Steve, et Carey.

Non je ne te parle pas de Ryan is in the kitchen, mais de ça:

(oui, il y a comme un air de déjà vu vous trouvez pas ?)

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Chroniques · Culture

serial shoppeuse

Ca ne se voit pas, mais je suis (un peu) une acheteuse compulsive. Et non, ce ne sont pas mes 36 paires d’escarpins qui vous le diront, ou encore le sac de shopping Mango rapporté ce midi (dans lequel je n’ai que des choses utiles: un jean, un pull d’hiver, un gilet) (utile, on a dit). Ni même ma collection de crèmes Avène / Caudalie (j’ai aussi une jolie collection d’échantillons, et pourtant ce n’est pas un blog beauté ici).

Non, je suis une acheteuse compulsive… de livres.

Oué, c’est grave. Enfin non, c’est pas grave. C’est ce que je me disais, au début. C’est la faute à Amazon (on reporte toujours la faute sur quelqu’un d’autre). Avant, j’allais à la FNAC, et vois-tu, c’était fatiguant. Déjà faut se déplacer, fouiller (tu sais jamais quoi choisir et ya jamais de vendeurs pour te renseigner), faire la queue, et surtout porter les 12 bouquins arrachés salement à leurs étagères poussiéreuses (sauf les bouquins de cuisine, qui bizarrement se retrouvent tous seuls dans tes bras).

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Culture

gotye – making mirrors

Ca faisait longtemps que je n’avais pas parlé de musique ici. Ok on est samedi (et je blogue rarement le week end) et il fait un temps de mois d’Août (enfin !) à Paris (ie 28°C soleil…) mais voilà, le nouvel album de Gotye est sorti et ça… il fallait que je le partage.

C’est un ami qui m’a fait découvrir cet artiste il y a quelques années. J’avais eu un (énorme) coup de coeur pour le morceau « Heart a mess« , de son premier album « Like Drawing Blood », et pour l’album dans son intégralité, en fait (l’excellent « Thanks for your time« , le superbe « The only thing I know » ou le rétro « Learnalilgivinanlovin« ).

Gotye- Hearts A Mess- official film clip from Gotye on Vimeo.

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Culture

le livre sans nom – anonyme

Petit lecteur, petite lectrice, et autres tomes de trilogie. Je t’écris depuis mon canapé où je bosse actuellement en mode pyjama (ie t-shirt informe et bas de survet Decath’), car figure toi que je suis malade. A moins de 24 heures de partir à Madrid (pour le boulot, NDLA), avoue que c’est balot. Mais bon.Accessoirement j’ai rêvé de ma femme de ménage cette nuit (qui était en vacances pendant une semaine et on n’imagine MEME PAS à quel point un appart de 50m² peut souffrir de l’absence de sa femme de ménache portugaise) (bref).

Je voulais surtout te dire que ça y est, j’ai fini la trilogie du Livre sans Nom. Et je tiens absolument à t’en parler.

Cette trilogie n’a pas vraiment de nom. Et puis c’est pas vraiment une trilogie (techniquement, hin, le tome un se passant avant le tome 2 et la tome 3 entre le tome 1 et le tome 2, même si il y a des références au tome 2 dans le tome 3 et que le tome 2 explique grandement ce qui se passe dans le tome 1, et même qu’une partie se passe après le tome 1) (quoi c’est pas clair ?). Pourquoi Anonyme ? Et bien parce que l’auteur n’a pas donné son nom…

C’est ma coupine Léa qui m’a d’abord parlé du Livre sans Nom (le premier tome). Que j’ai commencé et dévoré peut de temps après. Puis elle m’a dit que la suite était sortie et valait le coup. Au passage j’ai conseillé le tout à Guillaume, mon stagiaire cinéphile préféré, qui s’est empressé d’avaler les quelques 1500 pages de ces trois livres noirs. Et me voilà ici pour vous en parler, car sincèrement ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une telle claque littéraire.

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Culture

le livre sans nom – anonyme

Petit lecteur, petite lectrice, et autres tomes de trilogie. Je t’écris depuis mon canapé où je bosse actuellement en mode pyjama (ie t-shirt informe et bas de survet Decath’), car figure toi que je suis malade. A moins de 24 heures de partir à Madrid (pour le boulot, NDLA), avoue que c’est balot. Mais bon.Accessoirement j’ai rêvé de ma femme de ménage cette nuit (qui était en vacances pendant une semaine et on n’imagine MEME PAS à quel point un appart de 50m² peut souffrir de l’absence de sa femme de ménache portugaise) (bref).

Je voulais surtout te dire que ça y est, j’ai fini la trilogie du Livre sans Nom. Et je tiens absolument à t’en parler.

Cette trilogie n’a pas vraiment de nom. Et puis c’est pas vraiment une trilogie (techniquement, hin, le tome un se passant avant le tome 2 et la tome 3 entre le tome 1 et le tome 2, même si il y a des références au tome 2 dans le tome 3 et que le tome 2 explique grandement ce qui se passe dans le tome 1, et même qu’une partie se passe après le tome 1) (quoi c’est pas clair ?). Pourquoi Anonyme ? Et bien parce que l’auteur n’a pas donné son nom…

C’est ma coupine Léa qui m’a d’abord parlé du Livre sans Nom (le premier tome). Que j’ai commencé et dévoré peut de temps après. Puis elle m’a dit que la suite était sortie et valait le coup. Au passage j’ai conseillé le tout à Guillaume, mon stagiaire cinéphile préféré, qui s’est empressé d’avaler les quelques 1500 pages de ces trois livres noirs. Et me voilà ici pour vous en parler, car sincèrement ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une telle claque littéraire.

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Culture

woody allen, le marc levy du cinéma ?

Ceci n’est pas vraiment une question rhétorique. Du moins, en sortant de Minuit à Paris, j’ai eu cet éclair d’inspiration: un Woody Allen, c’est un peu comme ces bouquins de pseudo littérature, une histoire très bien assaisonnée d’un soupçon de romantisme (non feint), un poil de philosophie (sur le sens de la vie et du monde), une pincée de surréalisme, et surtout, un happy ending.

Bon, ok, peut être que Woody Allen, c’est un peu comme Paulo Coehlo. Ou Guillaume Musso. Enfin, tu vois. Ce genre de bouquin que tu achètes en toute confiance, parce que tu sais ce que tu vas y retrouver. Un genre de bonbon suave, une douceur sans grande originalité, mais si bien marketée qu’en l’achetant tu auras l’impression de faire partie des gens intelligents. Qu’en le lisant tu penseras que ta vie a (un peu) changé, parce qu’il y aura eu quelques réflexions sur la vie. Mais pas trop, surtout, juste le temps de quelques phrases bien tournées, sur ton transat au soleil (en plus c’est pratique, il y en a un nouveau qui sort pour chaque été !).

vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu qui vous écrira des lettres anonymes

Je suis peut être un peu méchante avec ces écrivains. Paulo Coehlo a quand même eu quelques belles inspirations, si ce n’est qu’il les a un peu trop usées. Mais pour ce qui est de la comparaison entre cette cheap littérature (dans laquelle on prend, je l’avoue, parfois plaisir à se plonger) et les films de Woody Allen, je n’y reviendrais pas.

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Culture · Syndromes

le syndrome di caprio

Lundi soir, j’ai vécu une expérience légèrement traumatisante. Ca se passait dans un lieu relativement sombre, avec le son très fort, et pas mal de monde autour de moi. Lundi soir, j’ai vu un film avec Robert Edward Pattinson, et j’ai aimé.

Oué, ça en fout un coup. Il faut l’avouer.

Alors d’abord le commencement du début, c’est que non, carrément non, franchement non, Robert Pattison le bellâtre aux yeux niais et sans lumière, Robert Pattinson le vampire boutonneux qui fait mouiller leur premier string aux préadolescentes, ce n’est pas pour moi. Comme tous ces Justin Bieber et autres Matt Pokora, j’ai fait une aversionnite aïgue à Twilight, les histoires de vampires (et de Chaperon Rouge), Edward, et autres Remember Me (et oui bon je l’ai vu sans faire exprès dans Harry Potter, mais bon). J’ai donc fuis, la seule incartade d’émotion postpubère que je m’autorisais restant Chuck Bass. Point.

Et puis il y a eu De l’Eau pour les Eléphants. Une bande annonce qui présageait du bon. Christoph Waltz. Reese Witherspoon. De bonnes critiques. Et puis comme le dit si bien mon stagiaire, un film avec Christoph Waltz ne peut pas être foncièrement mauvais.

J’y suis donc allée. J’ai donc frémis, souris, pleuré, frissonné, eu peur, serré très fort mon accoudoir, je me suis laissée emporter, et j’y ai cru. Parce que ce Robert Pattinson, Christoph Waltz ou pas Christoph Waltz, il est pas si mauvais. Et il avait bizarrement l’air moins stupide sans son maquillage et ses dents.

par contre pour le maquillage blanc, ils ont rien pu faire

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