OK ce titre ressemble tellement à celui qu’une bloggeuse mode pourrait mettre sur un tel post. Je suis désolée, je vais aller me faire lapider sept fois avec des bagues animaux H&M et réciter deux avé Lanvin pour la peine. Bon. Ca y est c’est fini on passe à autre chose ?
Parce qu’aujourd’hui on va parler de ma tête, donc, ou plutôt MES CHEVEUX.
(oui c’est un post égocentré, pardon) (et puis tu vas lire jusqu’au bout car il y a une surprise si t’es sage)
(bon)
Comment te dire de manière simple que je fais partie de ces filles qui ont une histoire capillaire… compliqué. Fille et petite fille de coiffeuse (oui les mêmes qui un petit côté maniaque de la propreté), il y a une certaine ascendance du cheveu qui pèse sur moi. Et donc pour simplifier les choses, disons que depuis mes 14 ans j’ai connu à peu près toutes les longueurs et toutes les couleurs de cheveux qu’on puisse imaginer sur une tête comme la mienne, avec plus ou moins de réussite.
A la base, je suis née blonde. Oué oué. J’ai eu les cheveux longs (très longs) pendant des années, jusqu’à ce printemps de collège où j’ai décidé de… tout couper. Court.
Bon, ont suivi de longues années d’adolescence où mes cheveux ont connu des colorations, du violine au blond méché rose, en passant par le roux/orange (coloration violine en cours de disparition), du long devant court dans la nuque, carré court, carré plongeant, franche asymétrique, pas frange, pour revenir (enfin) à mon blond originel accentué (je te passe les heures de balayage – merci maman), et une tête à peu près portable (la faute aux entretiens d’écoles de commerce).
ceci est un chien fou
Et puis un Noël sur un coup de tête (c’est le cas de le dire) je suis rentré chez mon coiffeur préféré et j’ai demandé à devenir brune, avec une frange.