NB: Ce post est légèrement NSFW. Aucun acteur porno n’a été maltraité pour la rédaction de cet article.
Ce week end, j’ai regardé un porno.
Non, ne fuis pas tout de suite, je t’explique. Je ne suis pas une adepte cachée des films frivoles à base de french manucure, de pipes et d’anus dilatés. Il se trouve juste que depuis quelques mois le Garçon a pris un abonnement à Canal +. Pas pour le Journal du Hard, mais pour le foot, le rugby, et d’autres activités à base de testostérone et de mecs en short. Et bon,vous le savez ou pas, mais sur Canal il y a chaque mois un porno diffusé et rediffusé, pour le plaisir et l’initiation sexuelle de tous les adolescents de France et de Navarre (depuis il y a eu Internet mais voilà quoi).
Ce week end donc, en zappant d’une chaîne à l’autre après que les Experts aient résolu une sombre histoire de pompier podophile, je suis tombée sur ce film au titre plus long que tous les Katherine Pancol mis bout à bout: Les avocates du diable grimpent au barreau (oui, rien que ça, et ne rigole pas, je t’ai entendu reprendre ta respiration).
S’il n’y avait que le titre je me serai arrêtée là, car comme je l’ai dit plus haut, non franchement les films de cul c’est loin d’être mon délire. Outre les couinements féminins qui sonnent beaucoup trop faux (et autres grognements pseudos virils), les gorges profondes qui me donnent des hauts le coeur à imaginer ce qu’elles s’enfilent et les sodomies « tout à fait normales » (mais oui bien sûr, et sans lubrifiant qui plus est), j’ai vraiment du mal à trouver excitant le fait de prendre les femmes pour des trous (oui pardon mais c’est bien rare que le scénario donne le pouvoir – et le plaisir – aux femmes).