Culture · Syndromes

le syndrome di caprio

Lundi soir, j’ai vécu une expérience légèrement traumatisante. Ca se passait dans un lieu relativement sombre, avec le son très fort, et pas mal de monde autour de moi. Lundi soir, j’ai vu un film avec Robert Edward Pattinson, et j’ai aimé.

Oué, ça en fout un coup. Il faut l’avouer.

Alors d’abord le commencement du début, c’est que non, carrément non, franchement non, Robert Pattison le bellâtre aux yeux niais et sans lumière, Robert Pattinson le vampire boutonneux qui fait mouiller leur premier string aux préadolescentes, ce n’est pas pour moi. Comme tous ces Justin Bieber et autres Matt Pokora, j’ai fait une aversionnite aïgue à Twilight, les histoires de vampires (et de Chaperon Rouge), Edward, et autres Remember Me (et oui bon je l’ai vu sans faire exprès dans Harry Potter, mais bon). J’ai donc fuis, la seule incartade d’émotion postpubère que je m’autorisais restant Chuck Bass. Point.

Et puis il y a eu De l’Eau pour les Eléphants. Une bande annonce qui présageait du bon. Christoph Waltz. Reese Witherspoon. De bonnes critiques. Et puis comme le dit si bien mon stagiaire, un film avec Christoph Waltz ne peut pas être foncièrement mauvais.

J’y suis donc allée. J’ai donc frémis, souris, pleuré, frissonné, eu peur, serré très fort mon accoudoir, je me suis laissée emporter, et j’y ai cru. Parce que ce Robert Pattinson, Christoph Waltz ou pas Christoph Waltz, il est pas si mauvais. Et il avait bizarrement l’air moins stupide sans son maquillage et ses dents.

par contre pour le maquillage blanc, ils ont rien pu faire

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