Culture

le livre sans nom – anonyme

Petit lecteur, petite lectrice, et autres tomes de trilogie. Je t’écris depuis mon canapé où je bosse actuellement en mode pyjama (ie t-shirt informe et bas de survet Decath’), car figure toi que je suis malade. A moins de 24 heures de partir à Madrid (pour le boulot, NDLA), avoue que c’est balot. Mais bon.Accessoirement j’ai rêvé de ma femme de ménage cette nuit (qui était en vacances pendant une semaine et on n’imagine MEME PAS à quel point un appart de 50m² peut souffrir de l’absence de sa femme de ménache portugaise) (bref).

Je voulais surtout te dire que ça y est, j’ai fini la trilogie du Livre sans Nom. Et je tiens absolument à t’en parler.

Cette trilogie n’a pas vraiment de nom. Et puis c’est pas vraiment une trilogie (techniquement, hin, le tome un se passant avant le tome 2 et la tome 3 entre le tome 1 et le tome 2, même si il y a des références au tome 2 dans le tome 3 et que le tome 2 explique grandement ce qui se passe dans le tome 1, et même qu’une partie se passe après le tome 1) (quoi c’est pas clair ?). Pourquoi Anonyme ? Et bien parce que l’auteur n’a pas donné son nom…

C’est ma coupine Léa qui m’a d’abord parlé du Livre sans Nom (le premier tome). Que j’ai commencé et dévoré peut de temps après. Puis elle m’a dit que la suite était sortie et valait le coup. Au passage j’ai conseillé le tout à Guillaume, mon stagiaire cinéphile préféré, qui s’est empressé d’avaler les quelques 1500 pages de ces trois livres noirs. Et me voilà ici pour vous en parler, car sincèrement ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une telle claque littéraire.

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le livre sans nom – anonyme

Petit lecteur, petite lectrice, et autres tomes de trilogie. Je t’écris depuis mon canapé où je bosse actuellement en mode pyjama (ie t-shirt informe et bas de survet Decath’), car figure toi que je suis malade. A moins de 24 heures de partir à Madrid (pour le boulot, NDLA), avoue que c’est balot. Mais bon.Accessoirement j’ai rêvé de ma femme de ménage cette nuit (qui était en vacances pendant une semaine et on n’imagine MEME PAS à quel point un appart de 50m² peut souffrir de l’absence de sa femme de ménache portugaise) (bref).

Je voulais surtout te dire que ça y est, j’ai fini la trilogie du Livre sans Nom. Et je tiens absolument à t’en parler.

Cette trilogie n’a pas vraiment de nom. Et puis c’est pas vraiment une trilogie (techniquement, hin, le tome un se passant avant le tome 2 et la tome 3 entre le tome 1 et le tome 2, même si il y a des références au tome 2 dans le tome 3 et que le tome 2 explique grandement ce qui se passe dans le tome 1, et même qu’une partie se passe après le tome 1) (quoi c’est pas clair ?). Pourquoi Anonyme ? Et bien parce que l’auteur n’a pas donné son nom…

C’est ma coupine Léa qui m’a d’abord parlé du Livre sans Nom (le premier tome). Que j’ai commencé et dévoré peut de temps après. Puis elle m’a dit que la suite était sortie et valait le coup. Au passage j’ai conseillé le tout à Guillaume, mon stagiaire cinéphile préféré, qui s’est empressé d’avaler les quelques 1500 pages de ces trois livres noirs. Et me voilà ici pour vous en parler, car sincèrement ça faisait longtemps que je n’avais pas pris une telle claque littéraire.

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Culture

toc toc néo

En 1999, j’avais 13 ans.

C’était l’époque de l’affaire Lewinsky, et on venait de découvrir avec American Pie les premiers teens movies. Après l’époque Boys Bands, on écoutait Blink et Offsprings, et entre deux morceaux de rap sur Skyrock,  c’était Manau, Larusso, Eiffel 65 ou encore David Halliday. En 1999 sortait la première comédie musicale sauce française, la seule qui, 10 ans plus tard, reste à peu près digne de ce nom : Notre Dame de Paris. On est toutes tombées amoureuses de Garou (avouez le), avant de pleurer devant La Vie est Belle.

maintenant on comprend mieux la pochette…

En 1999, au ciné, c’était Coup de Foudre à Nothing Hill, Le Diner de Cons, Sixième Sens, American Beauty ou encore Blair Witch Project, qui marqueront le genre et leur génération.

En 1999 sortait Matrix.

La bombe.

Oui, Matrix a 12 ans.

(ça nous rajeunit pas tout ça)

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