Chroniques

la flemme du week end

ou: Eloge de la paresse.

Je pourrais vous parler de mon réveil (difficile) ce matin. C’est lundi, il fait 15 degrés, alors bon… ça se comprend. Non, à la place je vais vous parler de mon week end. Mes activités fascinantes. Mon programme super intéressant. Et tout un tas de trucs plus captivants les uns que les autres…

Ce week end, je n’ai (pratiquement) RIEN fait.

Et comment te dire… j’ai kiffé. J’ai kiffé ma race, comme on dit dans les pourtours parisiens.

Je sais pas vous, mais en ce moment j’arrête pas. Boulot, soirées, soirée de boulot, soirée copains, soirée amoureux, shopping le midi, week end par ci, week end par là (et je te passe ma consommation de vin rouge de la semaine). Alors oui, j’avoue que quand je suis chez moi, posée, et que je peux profiter un peu, je profite. Et je fais pas semblant. Et puis d’habitude, quand il fait beau, je culpabilise toujours un peu de rester enfermée, mais ce week end fût merveilleux pour ça puisqu’il a plu pratiquement tout le temps. Du coup… bah mon canapé/survet/pull informe m’ont paru tellement préférables à ces nuages menaçants.

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Culture

woody allen, le marc levy du cinéma ?

Ceci n’est pas vraiment une question rhétorique. Du moins, en sortant de Minuit à Paris, j’ai eu cet éclair d’inspiration: un Woody Allen, c’est un peu comme ces bouquins de pseudo littérature, une histoire très bien assaisonnée d’un soupçon de romantisme (non feint), un poil de philosophie (sur le sens de la vie et du monde), une pincée de surréalisme, et surtout, un happy ending.

Bon, ok, peut être que Woody Allen, c’est un peu comme Paulo Coehlo. Ou Guillaume Musso. Enfin, tu vois. Ce genre de bouquin que tu achètes en toute confiance, parce que tu sais ce que tu vas y retrouver. Un genre de bonbon suave, une douceur sans grande originalité, mais si bien marketée qu’en l’achetant tu auras l’impression de faire partie des gens intelligents. Qu’en le lisant tu penseras que ta vie a (un peu) changé, parce qu’il y aura eu quelques réflexions sur la vie. Mais pas trop, surtout, juste le temps de quelques phrases bien tournées, sur ton transat au soleil (en plus c’est pratique, il y en a un nouveau qui sort pour chaque été !).

vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu qui vous écrira des lettres anonymes

Je suis peut être un peu méchante avec ces écrivains. Paulo Coehlo a quand même eu quelques belles inspirations, si ce n’est qu’il les a un peu trop usées. Mais pour ce qui est de la comparaison entre cette cheap littérature (dans laquelle on prend, je l’avoue, parfois plaisir à se plonger) et les films de Woody Allen, je n’y reviendrais pas.

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Culture

time to time

Je ne le cache pas, ou peut être que si, j’ai un tas d’autres activités en dehors de ce blog.

Un Job, déjà. Qui, s’il est bien en lien avec la blogosphère, me prend presque autant de temps que le Garçon (c’est dire). Mon emménagement, dont je vous fais la narration (hm) (même que vous devez trouver ça chiant). Je me transforme un peu en Valérie Damidot (même si on m’interdit de toucher à une clé IKEA depuis que j’ai monté des lattes de sommier à l’envers…). Et en cheffe cuisineuse (c’est que ma cuisine donnerait envie à n’importe qui de cuisiner…).

A côté de ça, je sors, je lis, je vais au ciné, je pars en vacances, j’écoute de la musique, je m’achète des fringues. Etc.

En résumé, en ce moment, mes temps d’écoute de cerveau disponibles ont eu le coup de coeur pour…

Thierry Serfaty Peur Agonia

Et à venir…

(c’est bon ? un post avec des images, des trucs à lire, à voir et à écouter ! enjoy !!)