A chaque fois c’est la même chose. On part quelques jours, on décompresse tellement vite. Et puis c’est le retour à Paris, quelques heures de TGV, le temps d’atterrir, une nuit un peu blanche. Retrouver la 3G, Twitter, la télé, les mails et les flux RSS. Triste réalité.
Lendemain matin, le réveil sonne, on avait oublié. Dehors le ciel est gris sans Soleil, température équivalente, pourtant. Retour au bureau, des kilos de mails et les urgences à gérer. Prenez des vacances qu’il disaient.
Hier encore, je me levais avec ce ciel, ce paysage, la liberté
Demain j’aurais oublié, retrouvé les habitudes, le ciel sans relief et les odeurs du métro Parisien. En attendant je rêve encore un peu, car si c’est toujours dur à l’atterrissage, ça fait toujours du bien de partir…
M’en parles pas…. je tuerais pour revoir mes montagnes en ce moment…
M’en parles pas…. je tuerais pour revoir mes montagnes en ce moment…