Je ne crois pas en avoir vraiment parlé par ici, j’ai un chat. Une chatte pour être plus précise, une petite chose noire et poilue aux yeux verts et à la démarche chaloupée, que j’avais abandonnée toute jeune et encore complètement folle à mes parents pour cause d’incompatibilité féline avec sa colocataire. Cela fait donc 5 ans que la petite chose vit à la campagne, dans la maison de mes parents, et a pu mettre à profit ses origines de chatte sauvage (sa maman) pour terroriser oiseaux, mulots et autres petites bêtes vivant aux alentours de chez moi. Elle s’appelle Blémia, mais porte 15 autres noms selon qui l’appelle: Blémia chat, minoute, Ptit Billy, chatoune, chatounette…
Depuis cette époque lointaine de sa première année où elle se tapait des sprints dans mon 45m² en sautant sur les murs, la petite chose a bien changé, et s’est transformée en un (presque) véritable chat de cheminée qui passe ses journées à dormir et quémander des câlins (elle qui était hyper indépendante il y a encore quelques temps…). C’est donc là que je fais ma réapparition à la maison, et que j’ai commencé à devenir une blogueuse à chat – en témoignent mes 125 photos d’elle sur Instagram (et je vous épargne les fois où j’ai seulement essayé de la prendre en photo, mais c’est volatile ces bêtes là).