Je me suis mise au sport.
Non c’est pas vrai.
Enfin si, c’est vrai, j’ai pris un abonnement pour l’année dans le gym cheap où va Camille, mais c’était avant de savoir que peut être j’allais me retrouver sans visa (lalala). Mais on en parlera plus tard. Parce que petit un, c’est vraiment pas drôle, et petit deux, j’ai pas envie d’en parler ici (et petit trois: always look on the bright side of life faque je préfère rire un peu) (et ça s’est arrangé).
La semaine dernière, j’ai donc découvert que j’étais flexitarienne. Pouf, comme ça. Imagine le choc de la nouvelle.
Flexitarienne, ça a pas rapport avec une quelconque question de souplesse (et c’est bien dommage, ça m’aurait plu, moi, d’acquérir un peu de souplesse). Enfin, éventuellement, ça dépend dans quel sens on regarde. C’est un mot qu’on pourrait compter dans ces charmants néologismes qui aiment à catégoriser les trucs de la vie pour qu’on se sente moins bizarre en les faisant. Tellement nouveau que le correcteur orthographique me met un petit liseré rouge dessous, pour bien me dire que c’est pas correct ton truc là, c’est pas dans le dico.