Ca ne se voit pas, mais je suis (un peu) une acheteuse compulsive. Et non, ce ne sont pas mes 36 paires d’escarpins qui vous le diront, ou encore le sac de shopping Mango rapporté ce midi (dans lequel je n’ai que des choses utiles: un jean, un pull d’hiver, un gilet) (utile, on a dit). Ni même ma collection de crèmes Avène / Caudalie (j’ai aussi une jolie collection d’échantillons, et pourtant ce n’est pas un blog beauté ici).
Non, je suis une acheteuse compulsive… de livres.
Oué, c’est grave. Enfin non, c’est pas grave. C’est ce que je me disais, au début. C’est la faute à Amazon (on reporte toujours la faute sur quelqu’un d’autre). Avant, j’allais à la FNAC, et vois-tu, c’était fatiguant. Déjà faut se déplacer, fouiller (tu sais jamais quoi choisir et ya jamais de vendeurs pour te renseigner), faire la queue, et surtout porter les 12 bouquins arrachés salement à leurs étagères poussiéreuses (sauf les bouquins de cuisine, qui bizarrement se retrouvent tous seuls dans tes bras).