Mardi matin au réveil, le soleil est déjà haut dans le ciel et la marée est basse. Nous allons nous promener sur la plage, entre les bateaux échoués et les ramasseurs de coquillages. L’eau est gelée mais pourtant il y a un tas de gens les pieds et les mains dans le sable mouillé pour ramasser des palourdes ! (pour moi se baigner par 16°C c’est du suicide…). Le sable est hyper fin, un peu comme du sable de rivière (si vous avez déjà mis les pieds dans une rivière, vous voyez de quoi je parle). Sur les rochers, on trouve ces fameuses « algues vertes » qui ont tant fait parler avec les sangliers. En l’occurrence ici rien de bien méchant, mais c’est un peu dégueulasse à l’aspect, il faut l’avouer (du coup je vous épargne les photos « gros plan »).