Il y a (longtemps), je vous parlais ménache dans un post sobrement intitulé « du syndrome du ménage et de l’aspirateur en particulier« , un titre à rallonge en hommage à Kandinski et son essai sur l’artiste. Le rapport avec l’art, il n’y en a point, dirons nous, mais bref. On fera plus court pour ce post, l’inspiration (et le temps) me faisant sévèrement défaut.
Dans ce post, je revenais sur un sujet brûlant dans le couple. Un sujet lié à la vie en commun, qui mène parfois à de sombres tensions : la Question du ménage.
(oui je met Question, comme la Question, autre terme utilisé pour désigner la torture… pour certains on en est pas loin)
Alors je vais vous avouer une chose. Si toute ressemblance avec des faits ou des personnes ayant réellement existé n’était que fortuite, il était évident que je ne m’enticherait ni d’un crade, ni d’un macho. Restait la troisième voie: le feignant. Et j’ai beau aimer de beaucoup d’amour le Garçon, autant d’efforts ait il pu faire pour s’afficher éponge séante et gants de ménage à la main, le sujet a fini par devenir sensible.
C’est pas ma faute à moi si je suis (un peu) maniaque. J’ai des gènes pour ça (qu’on m’a dit). Même si je vois moins de saleté que n’en voit ma mère qui en verra toujours moins que n’en verra ma grand mère, j’y peux rien, les poils dans la salle de bains et la poussière sur les étagères, ça me crispe fondamentalement.
Après maintes et maintes problématiques plus ou moins solutionnées, mon caractère insupportable lors du ménage du samedi après midi a eu raison de la patience du Garçon. Une grande décision fût prise (sans concertation): nous allions faire appel à une femme de ménage.