Voyages

la question du planning

Oh oui, je vais vous souler avec mes questions existentielles sur mes prochaines vacances ! Mais ceux qui me fréquentent quotidiennement (respect à eux) savent à quel point j’ai HÂTE de partir ! Imaginez, moi la fille du Sud, 360 jours de Soleil par an et la mer accessible à pieds (ou presque, et bon seulement les deux ans où j’ai vécu à Marseille MAIS BON), qui a quitté son Sud natal depuis maintenant deux ans et demi (sisi, la date exacte est le 21 Août 2008, départ pour Dortmund…), et qui n’a passé depuis qu’une semaine d’affilé maximum dans sa Provence chérie (et ensoleillée). A côté de quoi j’ai eu l’idée (étrange) d’aller en vacances en Suède l’été dernier en espérant y trouver… l’été (non mais cherchez l’erreur…). De quoi résulte l’impression de ne pas avoir eu d’été depuis deux ans et demi (non les quatre jours et demi de soleil à Paris durant lesquels je ne bossais pas entre le 15 juin et le 15août – après quoi il fait à nouveau un temps pourri – ne comptent pas) et un manque physique de la mer, son horizon bombé*, ses étendues salines.

Ok, tu comprends mieux ?

bon.

Après cette mise en bouche, reprenons avec mes problèmes de riche.

La Guadeloupe, donc, pour presque dix jours, départ vendredi 11 Mars après midi, retour lundi 21 Mars aux aurores (5h30, tu sais de quoi je parle…). Neuf jours sur place (merci le décalage horaire super avantageux). Neuf jours à occuper. Alors au départ quand on a décidé de partir là bas, on s’est dit « les Antilles c’est bien, mer et soleil, mais aussi un peu de montagne et de jungle« . Parce que comment te dire, le Garçon et moi même sommes loin d’être du genre lézard à glandouiller et faire des mots fléchés sur la plage. Nous, c’est plutôt vacances sportives, vacances découverte, vacances culturelles. On ne rentre pas crevés pour autant (je t’assure quand t’as marché 8 heures dans les rues de NYC tu te couches à 22h30, max), mais voilà. Donc la Guadeloupe apportait cette possibilité,  avec la possibilité de glander un peu (on va se promener le matin, on glande sur la plage l’après midi) et aussi une optioin qui semblait intéressante: celle de ne pas se ruiner en restos/musées/transports/autres trucs divers qu’on dépense en vacances dans un pays urbanisé.

Ca c’était avant d’avoir ouvert le Guide du Routard. Continue reading « la question du planning »