J’aurais pu titrer ce post « chatte, bite, couilles », mais je me suis retenue, l’objet de mon article n’étant pas la vulgarité, et je ne tiens pas à attirer tous les pervers du Web (quoi qu’avec le contenu, ça risque. bienvenue à toi, pervers. Google est ton ami).
(au passage: Maman si tu lis ce post, tu peux t’arrêter là) (ce message s’adresse aussi à mes beaux parents, mon boss, et tout autre personne qui ne souhaiterait pas découvrir ma nature profonde de fille vulgaire) (merci)
(aller revenons à nos moutons chats)
L’origine de ce post, c’est un tweet.
Comme on dit sur l’internet mondial deux point zéro, j’ai envie de répondre
+1
(la demoiselle ayant ajouté « garage à bites, c’est plus explicite« , à quoi j’ai répondu « ou chatte. parce qu’il faut appeler un chat un chat« )
(CQFD)
Assumons le fait que vous puissiez être choqués de ma vulgarité (et j’ai pu en choquer plus d’un, pardon), et soyons réalistes un instant. Mettez de côté votre éducation catho et bien pensante. Oui, toi aussi, la trop polie, tu laisses ton élégance et ta pudibonderie au placard, ou tu t’arrêtes là. C’est bon ? On peut entrer dans le vif du sujet.